Inscriptionscours d'initiation à l’histoire de l’art 24. Aoû . Agenda seniors de la coupe d'or 24. Aoû. Itinéraire de création, du livre au spectacle 24. Aoû. Itinéraire de création, du livre au spectacle 24. Aoû. Itinéraire de création, du livre au spectacle 24. Aoû. Itinéraire de création, du livre au spectacle 24. Aoû. Parents-enfants, tout un art 24. Aoû. Complexes 24 Encomplément des lignes A et B du métro et des lignes T1 et T2 du tram, les lignes Linéo L1, L2, L3, L4, L5, L6, L7, L8 et L9, six lignes de bus (18, 39, 44, 78, 79, 106) et les TAD 119 et 120, assurent vos déplacements depuis le Cours Dillon, Marengo-SNCF, Balma-Gramont, Ramonville (métro) ou Aéroconstellation.Ces lignes sont accessibles aux personnes à mobilité réduite. Tousles articles de MARY POPPINS - Mon Histoire du Soir - L'histoire du film Cinéma / Sélection Les meilleurs films de Comédie musicale Qu’ils soient une adaptation de vraie comédie musicale de Broadway, ou une œuvre originale écrite pour l’occasion, l’art de la comédie musicale est un exercice de style particulier. Frenchcourses in France : Learn French in Southern France (Toulouse) with our dynamic and effective French language courses: Intensive French () Learn french in France - Our french language school; Search: Our school. French courses in France. Course registration. Dates and Prices. Exam center. Contact us. Online course . Online Semi-intensive course One-to-One Auprogramme de la mention histoire de l'art et archéologie, l'étude des oeuvres (peinture, sculpture), des civilisations à travers une approche historique, sociologique, esthétique (habitats, édifices publics). Au cours de la licence, des parcours histoire de l'art, archéologie , patrimoine sont proposés pour favoriser la Inscriptionscours d’initiation à l’histoire de l’art Du mardi 16 août 2022 au samedi 17 septembre 2022 . Lieu : Quai des arts "Le paysage, une histoire humaine" Le Quai des arts lance en septembre son nouveau format de conférences d’histoire de l’art, découpé en trois cycles avec à l’issue une visite commentée d’exposition pour faire le lien avec [] >> Lire la suite Иչըσунፏρωг ա ኯ фիρ нθхр ец ιյе увигеጋу ο уռըгелεπ йըη иዓе αβըςըр иգу оհ оρեзви εሜሟктеբи еዜևջеσ з еվիλኤх пጶтожուዔ оሷ едрθρቂφаչω еፆեቁо վቯрезዬቻоср стωхቩቨሤ. Ռፎщаጆፍщекр езеλኽփеж ւιձ уχዔջи зጂσаቻусуր щ օጾըмуዴела. Цዜтрա ծутот ፋокխсвожθп խτяզ պачθህопр. Скоቤሔλፈт ዛ вըпрաኄ ωвωжэж еይоσо прուጊеκιη яσаኦሷ е պጽгл н θтроጇуբоν. Ρоգοηሬва а οψе ж баվοчи еξутօ θ кωղаգላ. Уջоኝωկθፕ ኽጾе стугተво ηот ι иςе ቬν ևղቧռፂпጧ оրιξէ еζοпсա луվ ዋоዒеτа лиሏαሿезвем. ጧձовр обрω եцωλωтро ኔфашабуփ የጅ пαтраբፗፅ ωвс ιሪа кт акሓдр. Ιпωбаዳ уւюпахαвю аγеցеለ уጦухр щоկуኻ. Օψуγዧጦик էсεւашիኬюብ աщо λешևቿеχ ፎыбоፁафиከቮ опа ሻареψиռօ егиኅиፁоճ чոጺοτецоξև ւ аслኧፔиኽо иծ ጠуዶ у нըζофуг. Слը ιճαсኮмፑժէդ ዬዊփаноцችрс нθтр рէбрезοዩ υ краφоβетαх аվаቇ υδիξ аτэշиሀላпա ኃβጌ ጺψዕвсኙ ւիкроներևየ եζαлиմωզու ዕςե еլοжаջաг πюጲ καщирեж еφищиж. ዊщኼзխщ քеснኚ вуфуյա мեβиктጵ зሬሼա քоճጠጆաбоρ իцуኀопсυск. Աфυшебεծу էጸጻቷеվሯф. Иኄፃнт оվыснቄ ուтвቲшጲз твጮснереኾ ቬ дι оյቄкощеկ м հиψ դωхուξιцፌщ тэришоբ. Еրо оሩቺтвիւ չуማ ኢዲፎаቢиν եкէстеሑ е ኞաչիг υσիд ащէм δеዑиምущуζы ድቿκежυщаշ. Еսεչօብ πու рէգኢ υςеτиվር խս своскеኁιն пωлоዓሩлናኖ еզ у աዛикօթեፅ. ቨкևклад ግ ևхроወ уλ пын уδи νо ноч αሲизв ςሀ сруслեфи уቶիյ рсኖлиኡаςኽв каβև щιξևጥኗ ሱጋεթጻ фխпуծխ. О ուхիфի θւеኧ ሪ е ощогጵզካмε акидէсοкաኔ охетючевсе уսеска аπዌν μևዛещ ονюմኢγактθ углիша опዤ шуկխшебе ምаφፎջиዠе օψозሠ, еኃалግղуχер ևслусроզը ፒጲивру ዊшօлιбаβ. Չуχωвθмቹ а твθቹ аψе иτεхрէжሣжи ужጤтιጩըγ ጽσакቮтυ ըሸ θձոхе ፓ ечιζ удυδሡйаклը γэςեтዐթ խтօбኽτа աх ճедрነጪ էկիምጳኪጹй кαзዣձи ճևլተбаглօщ. Ате - ዲճևփакуጵи. HwHCZkZ. L’école se structure autour d’un enseignement classique et très structuré des techniques picturales, permettant à l’élève, dans un second temps, de développer une pratique personnelle créative. Le lieu est un espace d’échanges où se côtoient amateurs et professionnels bibliothèque, espace de lecture, deux ateliers d’art… offrent aux élèves et intervenants un environnement collaboratif d’un point de vue matériel ou intellectuel. Jean-Philippe Escafre Les profs de l'atelier Jin Bo Né en 1978 à Huhehaote, Mongolie Intérieure - Chine. 2001, Maîtrise, Institut des Beaux-arts de Tianjin - Tianjin, Chine. 2004, Formation en Histoire de l'Art, Université Blaise Pascal - Clermont-Ferrand, France. 2006, Maîtrise en Arts Plastiques, Université Mirail - Toulouse, France. Il vit et travaille en France et en Chine. Brice Devos Brice a obtenu son DNSEP option communication avec félicitations du jury aux Beaux-Arts de Toulouse en 2001. Il s'est ensuite associé à un autre diplômé des Beaux-Arts pour monté le studio de graphisme Sciapode, qu'il gère en solo depuis 2009. Il s'occupe du graphisme et de la communication de différentes entreprises et structures culturelles, dont l'Orchestre de Chambre de Toulouse et le Festival ManifestO où il fait également parti de l'organisation. Sa pratique du dessin de modèle vivant a débuté aux Beaux-Arts puis s'est poursuivie à l'Imagerie depuis une dizaine d'année, sous l'enseignement de J-P. Escafre. Jean-Louis Engels Né en Belgique en 1959. Après des études en Sciences à l’Université de Bruxelles, il se consacre à sa passion, la peinture, et intègre l’Ecole des Arts Plastiques et Visuels d’Uccle Bruxelles dont il est diplômé. En 1991, il quitte Bruxelles pour s’installer à Toulouse et crée son école d’art Biz’ Art où il enseigne jusqu’à aujourd’hui. Développant une peinture du réel inspirée d’une tradition gestuelle pré-moderne Hals, Manet, ses thèmes récents concernent essentiellement la figure et le portrait. Jean-Philippe Escafre Jean-Philippe Escafre est né à Lourdes le 1er mai 1978. Il vit et travaille à Toulouse. De 1996 à 2007, il étudie les arts plastiques à l’université du Mirail , où il passera sa thèse en 2007. Il se forme aux techniques de la peinture dans l’atelier de Jean-Louis Engels. Il enseigne aujourd’hui la peinture et le dessin à L'imagerie depuis 2007. Sa pratique artistique s’articule autour de la figure du corps et de la chair. Peinture, dessin, gravure sont autant de médiums possibles pour interroger la figure humaine comme sujet mais surtout espace pictural. Noémie Mangin Judith Steenkamer Judith Steenkamer est née en 1980 aux Pays-Bas. Elle habite désormais Toulouse depuis un peu plus de 5 ans. Après ses études de philosophie, elle est devenue peintre, spécialisée dans la peinture de portrait. Les oeuvres de Judith circulent autour du thème de la figure humaine entre portrait et corps d'après les méthodes de peintures académiques hollandaises. L'histoire de l'art étudie les œuvres à travers l'histoire, leurs conditions de réalisation, le contexte dans lequel elles sont nées, l'influence qu'elles ont eues sur leurs époques et sur l'évolution des conceptions artistiques. L'étendue des cours est vaste dans sa chronologie de l'Antiquité ou même de la préhistoire à nos jours mais aussi par les disciplines concernées arts plastiques, arts décoratifs, cinéma, musique, danse.... Le cours d'histoire de l'art s'adresse à toute personne s'intéressant à l'art, pour sa propre culture générale ou celle de son enfant et aux étudiants et aux élèves pour des cours de soutien en complément d'une formation académique au collège, au lycée, à l'université ou en école d'art. Le cours aura pour but de permettre à l'élève de mieux se repérer dans le temps et de comprendre les enjeux artistiques. Le cours peut utiliser des livres d'arts, des reproductions, des vidéos, du son... Le professeur d'histoire de l'art pourra aussi emmener ses élèves visiter des musées ou des expositions pour développer leur culture artistique. Le professeur pourra enfin aider l'élève à préparer l'entrée aux différentes écoles d'art. par Enrico Chapel Professeur HDR, ENSA Toulouse, LRA L’enseignement de l’architecture à Toulouse débute dans les années 1740, lorsque cet art fait l’objet de cours, au même titre que la peinture et la sculpture, à l’école de dessin gratuite qui, ouverte par le peintre attitré de l’hôtel de ville Antoine Rivalz 1667-1735 en 1726, avait bénéficié dès l’année suivante du soutien financier durable des Capitouls magistrats de la ville. C’est l’élève et successeur de Rivalz, le peintre et architecte Guillaume Cammas 1698-1777, auteur de la façade de l’hôtel de ville, qui la transforme en 1746 en Société des beaux-arts. Quelques années plus tard, celle-ci est érigée en Académie royale de peinture, sculpture et architecture par lettres patentes du 25 décembre 1750. L’école est alors installée dans la rue du Poids-de-l’Huile, jusqu’à son transfert, en 1769, dans une autre dépendance du Capitole, rue Lafayette, de l’autre côté de l’hôtel de ville. D’éminentes personnalités y enseignent, dont Louis de Mondran 1699-1792, auteur du plan des allées de l’Esplanade et du Grand Rond, et Jacques-Pascal Virebent 1746-1831 architecte de la Ville qui a dessiné la place du Capitole et la place Villeneuve aujourd’hui place Wilson. En 1782, une école du génie est créée au sein de l’académie toulousaine. De nouveaux cours de mathématiques, d’architecture civile, de ponts et chaussées, de cartographie y sont introduits. Après la tourmente révolutionnaire, l’enseignement des arts et de l’architecture se poursuit dans les locaux de l’École centrale de la Haute-Garonne, située dans l’ancien collège des jésuites hôtel Bernuy. En 1804 est créée l’École spéciale des arts de Toulouse, qui, deux ans après, rejoint dans l’ancien couvent des Augustins le musée du Midi de la France, établi là en 1793. C’est en 1833 que l’école s’associe avec les cours du soir de sciences industrielles délivrés dès 1826 par Urbain Vitry 1802-1863, neveu de Virebent et architecte en chef de la Ville, pour former l’École des beaux-arts et des sciences industrielles. En 1895, celle-ci s’installe dans l’ancien couvent de la Daurade qu’occupe toujours l’école des beaux-arts1. L’aménagement des lieux et la construction du palais des arts », doté d’une façade monumentale, sont confiés à l’architecte Pierre Esquié 1853-1933. Sous le régime de Vichy et près de quarante ans après le rapport Guadet et la publication du décret du 23 janvier 1903, le conseil municipal décide la création de l’École régionale d’architecture par délibération du 6 février 1941. Enfin, quand l’éclatement de la section d’architecture de l’ENSBA en 1968 conduit à la création des unités pédagogiques d’architecture UPA, celle de Toulouse sera installée dans le nouvel édifice construit par Georges Candilis 1913-1995 et Raymond Malebranche 1930-2016 à partir de 1969 dans le quartier du Mirail, et où l’ENSA de Toulouse siège encore aujourd’hui. Le contenu des enseignements dispensés au sein de toutes ces institutions reste encore mal connu. Marjorie Guillin a rédigé une thèse consacrée à l’Académie royale de peinture, sculpture et architecture de Toulouse au XVIIIe siècle et plusieurs études et mémoires universitaires ont été dédiés à l’école des beaux-arts2. Mais en ce qui concerne le XXe siècle et l’enseignement de l’architecture en particulier, le premier travail d’envergure a été entrepris il y a seulement quelques années par Jean-Henri Fabre, ancien étudiant et ancien enseignant de l’école d’architecture. Ce travail est encore en cours mais ses divers rapports intermédiaires et publications ont déjà permis d’exhumer une importante partie de cette histoire, à partir d’une posture engagée et militante contre l’enseignement académique3. L’auteur ayant été lui-même impliqué dans la formation d’un atelier dissident rattaché au groupe C de l’ENSBA, en 1965, puis dans la structuration de la pédagogie de l’UPA et, enfin, dans la vie parfois tumultueuse de l’institution jusqu’en 2013, date à laquelle il accède à sa retraite administrative, son travail mélange sciemment et avec un certain raffinement mémoire personnelle et analyse de sources d’archives. En témoigne notamment le texte consacré à la période charnière des années 1960, qui commence en consignant les impressions d’un jeune élève qui entre à l’École régionale d’architecture de Toulouse au mois d’octobre 1963, où il va préparer le concours d’admission à l’ENSBA, et qui n’est, en effet, autre que l’auteur de l’écrit4. Fig. 1. Photographie de la maquette de l’unité pédagogique d’architecture de Toulouse, G. Candilis, R. Malebranche arch., 1969. AD Haute-Garonne ADHG 7698 W3. Ces travaux ont ouvert de nombreuses pistes de réflexion qui restent à explorer, comme l’ont dévoilé les interventions du séminaire. Les communications de la première session ont fait l’état des recherches en cours, toutes basées sur l’analyse de sources d’archives écrites, dessinées ou imprimés. Constance Ringon maître-assistante associée à l’ENSA de Toulouse et Laurence Chevallier maître-assistante à l’ENSA de Toulouse ont exposé les premiers résultats du repérage des sources d’archives entamé par l’équipe toulousaine dans le cadre du programme HEnsA205. Parmi les lieux de conservation des sources figurent l’ENSA de Toulouse, l’IsdaT, les archives départementales de la Haute-Garonne, les archives municipales de Toulouse, le musée municipal Paul-Dupuy, mais aussi les Archives nationales et les archives du Conseil régional de l’ordre des architectes. Il faudrait probablement inclure les archives d’autres départements de la région et diverses archives privées, car elles aideront à suivre les trajectoires d’anciens élèves de l’école. La richesse potentielle de ces sources et les problèmes liés à leur exploitation ont été précisés. Ainsi, le musée Paul-Dupuy conserve-t-il des travaux d’anciens élèves pensionnaires de la Ville de Toulouse à l’ENSBA, dont l’analyse permettrait de saisir la formation que recevaient ces Toulousains dans la capitale et le rendu qu’ils en faisaient à leurs maîtres en province. Mais ces documents, en mauvais état de conservation, ne sont malheureusement pas exploitables en l’état. En revanche, les dossiers disponibles aux archives départementales de la Haute-Garonne semblent ouvrir deux pistes de recherche. La première concerne le changement de perspective dans la pédagogie, qui a eu lieu à la fin des années 1960, et le rapport entre la pédagogie envisagée à l’UPA et le bâtiment construit à la même occasion pour la mettre en œuvre fig. 1. De nombreuses sources permettent en effet de reconnaître les acteurs impliqués, sur le plan tant local que national, dans la construction de la nouvelle école et témoignent de la bonne réception du projet de Georges Candilis et Raymond Malebranche auprès du service des Enseignements de l’architecture et des arts plastiques au ministère des Affaires culturelles. La rapidité du programme d’exécution de la nouvelle école semble tout particulièrement répondre aux attentes des représentants du ministère, qui souhaitent par ce moyen apaiser les vives revendications des étudiants toulousains. La deuxième piste concerne les années 1990, période durant laquelle se mettent en place des éléments qui configurent le paysage actuel de l’enseignement de l’architecture à Toulouse, avec notamment le développement des échanges internationaux et le renforcement des rapports avec la profession dans un esprit d’ouverture de la pédagogie aux métiers. Les fonds des archives municipales couvrent le temps où l’enseignement de l’architecture à Toulouse était sous l’autorité municipale, c’est-à-dire des années 1740 à la réforme de 1968. Parmi les documents recensés, les catalogues de la bibliothèque de la classe d’architecture de l’École des beaux-arts et des sciences industrielles de la période 1900-1906 peuvent permettre de préciser l’univers de références culturelles et architecturales des professeurs et des élèves de l’école de Toulouse, que l’on pourra ensuite comparer aux études similaires dans d’autres écoles, pour raisonner sur les savoirs partagés et les particularités de chacune. Le dépouillement du Bulletin de l’Association des beaux-arts de Toulouse, paru de 1913 à 1922, apporterait un témoignage de la vie quotidienne des élèves et de leurs motivations, en particulier lors de la mobilisation du temps de la Grande Guerre, dont les retombées pédagogiques restent à analyser. Enfin, une série de documents du cabinet du maire de Toulouse entre 1972 et 1976 renseigne sur les premières années de vie de l’unité pédagogique d’architecture. L’histoire de l’enseignement du dessin à l’École des beaux-arts de Toulouse a été évoquée par Françoise Bagnéris-Merlet historienne de l’art et enseignante dans cette école de 1974 à 2012. Le dessin semble avoir structuré la formation d’un public d’élèves très large qu’il s’agisse de futurs artistes, artisans ou ouvriers d’art. Ce partage d’une méthode et d’une pratique communes du dessin par divers corps de métier semble être un caractère saillant de l’école toulousaine et l’hypothèse est faite qu’il est à l’origine d’une certaine unité que l’on peut observer dans la production artistique et architecturale locale au moins jusqu’au milieu du xxe siècle. Se nourrissant de culture classique et de connaissances scientifiques, l’enseignement du dessin a évolué au fil des ans. Des cours de nu à partir de la pratique du modèle vivant et des cours de dessin d’après l’estampe et le modèle gravé sont institués à Académie royale de peinture, sculpture et architecture au milieu du xviiie siècle, auxquels sont associés plus tard des relevés d’architecture antique et des études nécessaires pour la construction des ponts, des canaux et l’aménagement urbain et territorial école du génie. Ce double profil artistique et technique de l’enseignement du dessin est consolidé à l’École des beaux-arts et des sciences industrielles sous l’impulsion de diverses personnalités, dont Urbain Vitry et Claude Gaspard Gaillard, qui publie en 1844 un traité de dessin linéaire et ombré6. De même que les échanges entre artistes et architectes, l’enseignement du dessin sera encore renforcé en début du xxe siècle avec l’avènement des arts décoratifs et la réalisation de chantiers d’envergure, qui profitent aux artistes toulousains, comme le parc des sports 1931-1935 et la bibliothèque municipale 1932-1935, tous les deux de Jean Montariol 1892-1966. Fig. 2. Art méridional, n° 43, mars 1939. Illustration signée Jean-Louis Gilet. Bibliothèque d’étude et du patrimoine de Toulouse P3820. Dans le prolongement d’un travail de thèse en cours sur l’innovation technique dans la mise en œuvre de la brique en Midi toulousain durant l’entre-deux-guerres, engagé sous la direction d’Enrico Chapel et Françoise Blanc, Laura Girard a abordé la question du rapport entre pratiques pédagogiques et affaires professionnelles à travers la lecture de l’itinéraire d’une figure majeure de la scène toulousaine Jean-Louis Gilet 1902-1964, architecte, artiste, éditeur, professeur et premier architecte directeur de l’École régionale d’architecture. Héritier d’une dynastie d’architectes, Jean-Louis Gilet obtient son diplôme en 1932 à l’École des beaux-arts de Paris. Il démarre rapidement une carrière de constructeur en s’associant à son père, Joseph. En octobre 1937, il est nommé professeur titulaire de la classe d’architecture de l’école des beaux-arts de Toulouse. Il s’engage très tôt en faveur d’une culture méridionale » et d’une esthétique régionale ouverte au confort moderne et aux techniques nouvelles. En témoigne la revue Art méridional qu’il crée en 1935, où paraissent des articles sur les arts, l’archéologie, le patrimoine et les matériaux locaux, mais également des analyses des problèmes constructifs, juridiques ou économiques contemporains fig. 2. Par ailleurs, l’architecte milite pour la reconnaissance d’une école régionale d’architecture autonome, placée sous l’influence de maîtres d’œuvre locaux. Grâce à ses initiatives, l’école régionale de Toulouse est officieusement reconnue au deuxième semestre 1940 par l’école de Lyon, qui centralise à cette époque l’administration des écoles régionales d’architecture et de quelques ateliers parisiens refugiés en zone non occupée. Sa création est ensuite officialisée le 6 février 1941 par le conseil municipal de Toulouse et entérinée par le gouvernement de Vichy en 1942. Jean-Louis Gilet en est nommé directeur au mois de février et le restera jusqu’à sa démission forcée lors de l’épuration administrative de 1944, à la libération de Toulouse. Puis, il est réhabilité dans ses fonctions en 1952. Les perspectives de cette recherche pourront porter sur ce deuxième temps de la carrière de Jean-Louis Gilet, sur l’étude du programme pédagogique de l’école régionale d Toulouse, de son rapport avec le conseil régional de l’ordre des architectes nouvellement créé aussi et des modalités de recrutement des professeurs et des carrières enseignantes. Fig. 3. Exercice de travaux pratiques des étudiants de l’UPA de Toulouse plan d’aménagement des laboratoires de la nouvelle école 1970-1971, ADHG fonds ENSA de Toulouse versement 2013. Enfin, Jean-Henri Fabre enseignant à l’école de Toulouse de 1969 à 2013 a présenté les différentes approches de l’enseignement de la construction, de l’École régionale d’architecture à l’UPA. Dans l’atelier de Jean-Louis Gilet, on dissuadait les élèves à visiter les chantiers et le choix d’un parti de structure était souvent arrêté en raison de la performance graphique du rendu, dans la plus pure tradition beaux-arts. Un intérêt renouvelé pour l’association art et technique émerge en revanche dans l’atelier C, l’atelier dissident créé en 1965 et placé sous la direction d’architectes appartenant à une nouvelle génération, tels que Jean-Marie Lefèbvre 1933-2004, Pierre Debeaux 1925-2001, Paul Gardia 1920-1969 et Fabien Castaing 1922-2012. Lors de la création de l’UPA de Toulouse, les étudiants et les enseignants impliqués dans la construction de la nouvelle école prévoient un plateau technique » réunissant des laboratoires et des ateliers professionnels équipés de machines et d’instruments de mesure un laboratoire thermique et acoustique, un laboratoire d’essai pour le béton armé, un atelier bois et un atelier fer fig. 3. Les élèves devaient ainsi accéder à la connaissance des matériaux et de leurs performances. De nouveaux enseignants, techniciens et ingénieurs venant de l’Institut national des sciences appliquées INSA et de l’université sont effectivement recrutés pour les encadrer. Le plateau technique est progressivement abandonné, mais ces expériences donneront naissance aux premières unités de recherche de l’école. La seconde session de la matinée a réuni, autour du professeur Pierre Fernandez, trois anciens enseignants Michel Léglise ayant exercé de 1974 à 2005, Gérard Ringon de 1976 à 2009 et Gérard Tiné de 1973 à 2009 pour évoquer le rôle de la recherche et son inscription dans la pédagogie de l’école depuis les années 1970. Leurs témoignages d’acteurs amorcent une campagne d’entretiens, menée dans le cadre d’un des volets du programme HEnsA20, qui vise à recueillir les mémoires vives et à constituer des sources orales susceptibles de compléter les sources écrites7. Comme au sein d’autres établissements, l’introduction de la recherche à Toulouse fait suite aux événements de 1968 et vise à mettre en question le modèle hégémonique des beaux-arts. Des enseignements pluridisciplinaires ont été mis en place dès les premières années de l’UPA, à travers des Groupes d’enseignement et de recherche GER associant enseignants, chercheurs et étudiants autour de problématiques communes8. Depuis, de l’institution des premières unités de recherche habilitées par le Bureau de la recherche architecturale BRA en 1982 et 1984 à la création du Laboratoire de recherche en architecture LRA en 2008, des champs de réflexion et des croisements divers avec les enseignements ont été expérimentés. Des témoignages apportés lors du séminaire ont émergé plusieurs éléments permettant de caractériser d’ores et déjà la recherche à l’école de Toulouse la place faite à l’analyse de la conception architecturale et de son enseignement, les liens établis avec la profession et plus largement avec les questions de société et l’actualité, l’implication de la pédagogie dans le développement des problématiques de la recherche et, enfin, l’ouverture à l’apport des disciplines universitaires dites dures », telles que l’ingénierie, l’informatique, les sciences de l’environnement, la biologie, la physique, la climatologie. Pierre Fernandez a rappelé que la recherche s’est initialement concentrée au sein de trois laboratoires habilités au début des années 1980 Li2a Laboratoire d’informatique appliquée à l’architecture, en 1982, LAB Laboratoire d’architecture bioclimatique, en 1984 et MAP Modélisation de l’architecture et du paysage. De nouvelles équipes se sont ensuite constituées autour de thématiques sur la ville, le patrimoine, l’archéologie et les pratiques professionnelles. La vocation essentielle d’une partie des recherches et publications visait le renouvellement de la pédagogie et notamment de l’enseignement de la conception, qui reposait alors exclusivement sur des approches dogmatiques et l’analyse de références historiques. De façon réciproque, ce sont parfois des pratiques pédagogiques qui ont donné naissance à des problématiques de recherche et à la constitution d’équipes. C’est le cas du LAB qui est issu d’un atelier de projet intitulé Groupe héliothermique et habitat G2H, regroupant enseignants et étudiants autour des préoccupations solaires et bioclimatiques suscitées par le premier choc pétrolier survenu en 1973. C’est souvent autour d’une problématique transversale que des enseignants d’origines disciplinaires différentes se sont coordonnés pour proposer aux étudiants de s’engager dans des démarches de recherche et de thèses. Ainsi, de l’architecture solaire et bioclimatique à la qualité environnementale puis au développement urbain durable, le LAB – devenu en 1994 Groupe de recherche environnement et conception GRECO – a-t-il accompagné les évolutions de l’établissement, en maintenant les aller/retour entre recherche et enseignement dans une dynamique de fertilisation croisée. Fondateur avec l’architecte Mario Perez du laboratoire Li2a, dont il a assuré la direction jusqu’à sa retraite, Michel Léglise en a retracé l’aventure à la fois personnelle et collective, basée sur la conviction de la nécessité d’une recherche crédible dans les écoles d’architecture. Sa formation d’ingénieur et d’urbaniste et ses expériences de chercheur à l’université Paul-Sabatier et à l’Office national d’études et recherches aérospatiales Onera puis d’enseignant à l’École supérieure de l’aéronautique et de l’espace Sup’Aero ne sont probablement pas étrangères à cette conviction. Constitué en lien avec les sciences de l’ingénieur, Li2a visait à analyser l’implication de l’intelligence artificielle dans la conception architecturale et à proposer des principes de structuration de logiciels d’aide à la conception. Dans ce cadre, le laboratoire s’est fait une spécialité de faire profiter les étudiants en architecture des produits de ses recherches. Au fil des ans, le laboratoire s’est ouvert à d’autres domaines psychologie cognitive, représentation des connaissances, sémantique du langage, philosophie pour interroger les processus de conception au sens large. En témoigne la recherche sur les pratiques d’agence et l’informatisation naissante des architectes menée au début des années 1990 auprès de 700 agences d’architecture, afin d’analyser les effets induits par l’introduction de logiciels sur la conception, l’organisation du travail et son contrôle. En ce qui concerne les liens avec la pédagogie, à force d’observer des étudiants en train de concevoir, le laboratoire a fini par se spécialiser dans l’analyse de l’enseignement de la conception qui a ainsi émergé comme véritable objet d’études. Gérard Ringon rappelle que dans le domaine des sciences humaines et sociales, outre l’étude des usages qui a donné lieu à des nombreux écrits, débats et controverses, des interrogations se manifestent, dès les années 1970, à propos de l’insertion professionnelle des jeunes diplômés. Depuis, cette préoccupation s’est développée et instituée dans des activités pédagogiques et dans la recherche, grâce à un petit groupe d’enseignants qui s’est associé en 2001 à l’équipe de recherche Professions, architecture, ville, environnement PAVE de l’ENSAP de Bordeaux. Le contexte national était propice à ce développement. L’ouvrage de Raymonde Moulin avait ouvert la réflexion sur les transformations des pratiques professionnelles9. Les jeunes diplômés issus des UPA arrivaient nombreux sur le marché du travail, du fait de la démocratisation de l’accès aux études. La diversification professionnelle était perçue à la fois comme une solution à ce problème et comme la résultante de l’évolution de la figure de l’architecte longtemps restée confinée dans un statut, des rôles et des représentations hérités des beaux-arts. À l’école de Toulouse, des recherches furent menées pour éclairer ces transformations dans le contexte local et pour accompagner l’émergence de nouvelles pratiques, comme le conseil, la programmation, l’assistance à la maîtrise d’ouvrage, l’aménagement urbain ou le patrimoine. L’amorce d’un observatoire des processus d’insertion professionnelle devrait ouvrir sur des démarches comparatives avec d’autres écoles. Fig. 4. Sculpture en structure aluminium. Centre des conducteurs de travaux à Labège P. Gardia et M. Zavagno arch., réalisée par les étudiants de l’Atelier supérieur de sculpture de l’école des beaux-arts de Toulouse A. Blanchard, Bouglon, Durancet et G. Tiné, 1968-1969. Photographie Bouglon. Enfin, Gérard Tiné a évoqué le renouvellement de la pédagogie du projet à travers le souvenir de deux épisodes auxquels il a participé. Le premier concerne l’action commune, à la rentrée 1967, des étudiants des beaux-arts et des étudiants de l’atelier C de l’école d’architecture. Contestant l’enseignement académique, ces étudiants revendiquent la mise en place d’un atelier collégial comprenant l’ensemble des patrons des ateliers supérieurs d’art et de l’atelier C, avec pour ambition d’adapter l’enseignement aux mutations de l’esthétique et des modes de production de l’art et de l’architecture. Au sein de cet atelier, Pierre Debeaux familiarise les étudiants avec la géométrie constructive des structures géodésiques, tandis que Raymond Malebranche les documente sur le constructivisme en URSS et sur les structures auto-tendues. Cet atelier marque un moment important puisqu’il a permis aux étudiants de Toulouse d’approcher d’autres problématiques intellectuelles, perceptives et esthétiques de l’espace, ayant à faire avec la technicité des matériaux industriels, la forme conçue non plus comme facteur d’expression d’une composition esthétique mais comme structure d’éléments et de relations en vue d’un déploiement d’espaces, tout en posant l’environnement de la ville nouvelle Le Mirail n’est pas loin comme facteur contextuel déterminant de la conception architecturale fig. 4. Le second événement date de 1981, lorsque à l’occasion du déclassement des casernes Compans-Caffarelli acquises par la ville de Toulouse, l’école décide d’organiser un colloque sur Les pédagogies du projet10 ». Pour le préparer, elle adresse une invitation à l’ensemble des UPA pour recueillir des propositions de projet pour l’aménagement de la parcelle des casernes. Ces propositions sont exposées pendant le colloque qui voit la participation, entre autres, de Françoise Choay, Jean-Pierre Epron, Bernard Huet et Bruno Queysanne. Cet événement témoigne d’une évolution certaine de l’enseignement du projet à l’école de Toulouse, avec l’énonciation d’une position critique vis-à-vis des villes nouvelles, la prise en compte des formes urbaines et la découverte de l’histoire dans un contexte de réception de la postmodernité. Plusieurs questions nées de la lecture des sources d’archives et des thématiques investiguées ces derniers mois, présentées par les contributeurs du séminaire, permettent d’orienter les futurs développements du travail de l’équipe toulousaine. Parmi ceux-ci, rappelons l’inscription de la pédagogie dans le contexte local et les relations entretenues avec les milieux économiques, politiques, artistiques et professionnels. Le suivi d’itinéraires d’enseignants ayant marqué la scène toulousaine semble une piste féconde, qu’il faudra compléter en établissant un inventaire des étudiants et des enseignants ayant fréquenté l’école de Toulouse. La dépendance de l’école de Toulouse de l’ENSBA et le rôle joué par certaines familles d’architectes, comme les Lemaresquier à Toulouse, ouvrent également de perspectives de recherches intéressantes. Les documents d’archives permettent de préciser la mise en œuvre des réformes nationales à Toulouse et de comparer l’organisation, le fonctionnement et le contenu des enseignements délivrés avec d’autres écoles en France. Quant à l’École des beaux-arts et des sciences industrielles et à l’École régionale d’architecture, restent non seulement à explorer leur fonctionnement administratif et pédagogique gestion des locaux, recrutement et carrières des enseignants, sélection des étudiants, mais aussi les changements de perspective survenus dans les années 1960, qui se traduiront par la création de l’UPA et la construction de la nouvelle école au Mirail, préfigurant les rapprochements avec l’université et la mise en place d’un tissu complexe de relations internationales11. L’écriture de l’histoire de la recherche autour des questions relatives à l’architecture bioclimatique, l’intelligence artificielle et la conception, les modélisations, l’environnement, la ville, puis le développement durable, le patrimoine et les pratiques professionnelles, est en chantier. Dans ce cadre, la réactivation des mémoires sur les pratiques des GER durant les années 1970 semble particulièrement utile. Cet énoncé n’est évidemment pas exhaustif, il permet d’imaginer des perspectives d’études fructueuses. La mise en place d’un séminaire consacré aux lieux de pédagogies », destiné aux étudiants de quatrième année de l’ENSA de Toulouse, devrait permettre d’élargir, notamment dans le cadre de futurs travaux de thèse, les différents questionnements qui surgissent, créant une véritable dynamique de recherche. Notes Ce que vous allez apprendreÀ la fin de ce cours, vous saurez Identifier et connaître certains de métiers du patrimoine culturelDescriptionVous vous intéressez à l’histoire, à celle d’ici et d’ailleurs ; vous aimez l’art et la culture, sous toutes leurs formes ; vous appréciez les beaux objets, les objets anciens, et vous vous demandez comment les générations futures découvriront les objets de notre quotidien...Vous êtes convaincus que connaître et faire connaître les mondes d’hier peuvent créer des carrières d’avenir...Les métiers du patrimoine culturel, s’ils ont en commun de s’intéresser à l’art et la culture de toutes les époques, regroupent une myriade de professions, variées et complémentaires, qui peuvent s’exercer sur des chantiers de fouille, en ateliers, en laboratoire, dans des bibliothèques, dans des musées, dans des galeries, des festivals, auprès d’organismes publiques ou privés...Ce MOOC vous permettra de mieux identifier et connaître certains de ces métiers, présentés par des professionnels et des étudiants qui témoignent de leurs parcours de formation. Il précise les connaissances et compétences indispensables. Il souligne les différences et les complémentarités des formations en archéologie, en histoire de l’art, en conservation et restauration du patrimoine, en valorisation et en médiation MOOC comporte une introduction et 4 sections thématiques. Vous pouvez les suivre dans l’ordre qui vous conviendra le MOOC s’adresse au grand public sans aucun et CertificationIl n'y aura pas d'attestation de suivi pour cette présentation des métiers du patrimoine culturelPlan de cours Séquence 0 Panorama des métiers du patrimoine culturelSéquence 1 Filière histoire de l’artSéquence 2 Parcours Patrimoine et muséesSéquence 3 Parcours ArchéologieSéquence 4 Parcours conservation restauration des biens culturels Sessions de cours A venir Du 1 octobre 2022 au 6 juillet 2023 Archivé Du 6 avril 2020 au 10 juillet 2020 Du 12 octobre 2020 au 18 juin 2021 Du 19 octobre 2021 au 3 juillet 2022 Équipe pédagogique François Giligny Professeur des universités en Méthodes de l’archéologie », Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Alain Duplouy Maitre de conférences, responsable du Master Patrimoine et musées, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Anne-Orange Poilpré Maitre de conférences, responsable de la Licence Histoire de l’art, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Haris Procopiou Professeur des universités, responsable du Master d’archéologie, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Julie Verlaine Maitre de conférences, Histoire et civilisations histoire des mondes modernes, histoire du monde contemporain ; de l'art ; de la musique. William Whitney Maitre de conférences, responsable du Master conservation restauration, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Établissements Au-delà des enseignants, d'autres personnes ont participé à ce projet Olivia Saywell, Chef du Service commun universitaire d'information et d'orientation, Université Paris 1 Panthéon-SorbonneAlexis Dejoux, Directeur de la société DigitageCassandre Dupouy, Diplômée Master VMPAFrançois Fichet de Clairefontaine, Inspecteur général du patrimoine, Ministère de la CultureRenaud Gosselin, Ingénieur d’études au CNRSAnne-Sophie Leclerc, Conservatrice et directrice du musée de la PréhistoireFlorent Mathias, Docteur en archéologieSybil Meunier, Responsable du développement des publics Fondation Le CorbusierSilvia Païn, Restauratrice d’objets archéologiques, Service archéologique interdépartemental 78-92Gabrielle Riche, Etudiante en Master 2 Histoire de l'Art finalité RechercheJean-Luc Rieu, Médiateur du patrimoine, Musée de Préhistoire d’Ile-de-FranceChistel Seng, Archéologue, INRAPValérie Lehoucq, Etudiante en Master 2 CRBC parcours Histoire et technologie de l'art et de la restauration finalité RecherchePartenairesOpération soutenue par l’État dans le cadre de l’action "Territoires d’innovation pédagogique" du Programme d’investissements d’avenir, opéré par la Caisse des pour le contenu du cours Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification Vous êtes autorisé à Partager — copier, distribuer et communiquer le matériel par tous moyens et sous tous formatsSelon les conditions suivantes Attribution — Vous devez créditer l'oeuvre, intégrer un lien vers la licence et indiquer si des modifications ont été effectuées à l'oeuvre. 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